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Interview : Mylène Pelleray Directrice Pôle Etudes EBP

17 novembre 2020

 » Nous sommes membre d’une chaîne de valeur qui intègre le client et nous engage à faire porter la voix des entreprises. « 
Mylène Pelleray, Directrice Pôle Etudes EBP, Pilote du groupe Téléprocédures fiscales

Quelles sont les motivations qui vous ont conduit à présenter votre candidature au poste d’administrateur de SDDS ?
Mylène Pelleray : Historiquement EBP a toujours été acteur au sein de SDDS et il me semblait indispensable de prolonger cet engagement. C’est un fait que chaque entreprise tire de nombreux bénéfices d’être membre de SDDS. Pour nous, il est important d’être acteur et non simple spectateur des groupes de travail pour apporter des préconisations, des évolutions et participer aux missions de SDDS, autant de motivations pour faire partie du conseil d’administration.
En participant au bureau, au-delà des bénéfices que nous avons en tant qu’éditeur, je suis très satisfaite de nos échanges internes et faire jouer ainsi notre intelligence collective.
J’apprécie également l’ouverture d’esprit de l’association qui accueille régulièrement de nouveaux membres, des entreprises de tailles diverses, qui n’ont parfois pas les mêmes objectifs mais qui œuvrent tous pour l’intérêt commun.

Quelle est votre vision de l’évolution de SDDS et les missions que vous souhaitez mener ?
Mylène Pelleray : Je n’ai pas les 15 ans de recul sur l’évolution de SDDS, mais elle est notable. On constate que SDDS n’est pas qu’un relai d’informations. Elle est au cœur de l’action, elle a un vrai pouvoir au sein des prises de décision avec les pouvoirs publics.
Les résultats de SDDS proviennent de la somme des actions de tous les membres, qui s’investissent pour lui donner toute sa dimension. C’est un travail conséquent, complémentaire à nos actions au quotidien au sein de nos entreprises. Nous donnons de notre temps en retour aux membres qui l’ont aussi fait depuis des années. On est tous satisfaits d’avoir les bénéfices des actions de SDDS, il est juste d’en être acteur.

J’ai souhaité prendre en charge un groupe de travail consacré aux téléprocédures fiscales et à la TVA en particulier, mais ce sujet ne sera pas porté par la DGFIP dans les prochains mois. Nous resterons en veille et solliciterons les adhérents pour faire porter leur voix et faire avancer ce sujet dont de réels bénéfices sont attendus par les entreprises et les éditeurs.

Nous sommes membre d’une chaîne de valeur qui intègre le client et nous engage à faire porter la voix des entreprises. Les pouvoirs publics nous attendent aussi comme porte-parole des entreprises et des PME pour faciliter la compréhension des enjeux, des attentes et besoins des entreprises.
Enfin, je porterai mon soutien aussi au groupe de travail facture électronique piloté par Thierry Hardoin. Je suis également intéressée par le nouveau groupe de travail, créé par Benjamin Leiba, sur la communication interne pour partager les bonnes pratiques.